Pour un sport utilitaire

 

Je milite pour une activité physique résolument utilitaire afin de contribuer réellement à l’amélioration des conditions de la santé. Placer le corps au centre des préoccupations est à mon sens une condition incontournable.

Evidemment, le sport (l’activité physique) est un formidable moyen pour se détendre, s’amuser et prendre du plaisir.

Mais face à la montée au sein de notre société de la sédentarité, de l’obésité, des accidents cardio-vasculaires et des pathologies dorsales notamment, je prétends que l’activité physique utilitaire se pose comme un puissant remède à tous ces maux.

Pour atteindre cet objectif, l’activité physique doit être adaptée aux capacités de l’individu et à ses besoins ; le problème de l’individu, les besoins de son corps déterminent la nature de l’activité physique et le type d’exercice à faire.

Pour illustrer ce point, je prends volontairement un exemple caricatural ; un match de foot le dimanche matin entre copains ou une partie de squash le soir après le boulot risquent d’engendrer souvent des effets contraires, surtout pour les plus de 35 ans (risque de blessures musculaires, risque cardiaque dû à l’intensité de l’activité). Nager, courir, marcher, faire des étirements aura à l’évidence un impact bien plus positif sur la santé.

Pour revenir à l’aspect utilitaire de l’activité physique, je revendique des exercices de renforcement/étirements de toute la zone centrale du corps. Deux séances de 30 minutes par semaine permettent de réduire considérablement la plupart des pathologies dorsales. Pour ce faire, il n’y a même pas besoin de matériel ; un tapis de sol suffit !

Pour que l’activité physique soit réellement utile à notre santé, il faut qu’elle parte de notre corps et de ses besoins.

Pour la mise en œuvre, c’est à l’expert de faire… Evaluer les besoins, prendre en compte les caractéristiques individuelles, planifier une progression d’exercices, contrôler la réalisation; voilà le travail de l’expert en l’activité physique. Son rôle est donc déterminant et il se place ainsi comme un acteur majeur de la santé et du bien-être (au même titre que le kiné et l’ostéopathe par exemple).

 

Un professionnel de l’activité physique adapté est en mesure de trouver les solutions pour agir vraiment sur les conditions de la santé. Il est ainsi le garant du « sport-santé » ou du « sport-utilitaire ».

jeu.

30

mars

2017

Jeune maman VS business woman : se remettre en forme après un accouchement  pour mieux appréhender sa vie professionnelle

Avoir un bébé est sûrement l’une des plus belles choses au monde. Cependant, la jeune maman se retrouve confrontée à de puissants changements tant au niveau de sa vie sociale et professionnelle que dans son intimité corporelle.

Je milite pour un accompagnement individuel basé sur l’activité physique adaptée afin d’aider au mieux la femme à gérer cette période post-grossesse.

La reprise de l’activité physique aura plusieurs bénéfices pour la jeune maman :

-          Retrouver rapidement son corps « d’avant ».

-          Perdre au plus vite les kilos superflus.

-          Contribuer à gommer les effets de la grossesse sur le corps (remuscler toute la partie centrale du corps) et ainsi retrouver sa féminité.

-          Réduire les risques de déprime post-grossesse.

-          Avoir un moment juste pour soi durant lequel la maman oublie un peu bébé.

-          Optimiser la préparation au retour dans le monde professionnel.

Je propose de privilégier une reprise de l’activité physique en douceur :

-          marche, puis marche rapide, puis reprise progressive de la course.

-          utilisation des machines de cardio qui préservent des chocs au sol.

-          renforcement musculaire de toute la partie centrale du corps à l’aide d’exercices doux et progressifs.

En parallèle, il est indispensable d’adopter une alimentation saine et équilibrée.

Evidemment, tout cela ne peut se faire sans l’accord du médecin traitant. Une attention toute particulière doit être accordée à la rééducation du périnée.

Pour ma part, je prétends qu’il est souhaitable de reprendre l’activité physique au plus vite après l’accouchement. Un délai de 6 à 8 semaines me semble raisonnable. A coup sûr, faire appel à un professionnel de l’accompagnement sportif permettra d’atteindre de très beaux résultats tout en respectant l’intégrité physique de la jeune maman.

 

Enfin, une femme qui se remet rapidement de son accouchement (à la fois d’un point de vue physique et d’un point de vue mental) reprendra le travail dans les meilleures conditions. A l’aise dans son corps et épanouie dans sa vie personnelle, la jeune maman fera sûrement un retour fracassant dans le monde professionnel.

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mar.

25

oct.

2016

Trois mots-clés pour une meilleure santé

Bouger, renforcer, étirer : ces trois actions constituent la base de votre santé pour les prochaines années.

 

Bouger : c’est lutter contre la sédentarité, réduire les risques de maladies cardio-vasculaires et freiner la prise de poids au fil des ans.

Pour cela, je recommande de bouger au moins deux fois par semaine sur un temps minimum de trente minutes. Vous avez le choix entre une multitude d’activités comme la marche rapide, la natation, le vélo, la course à pieds, le roller, …

 

Renforcer : c’est lutter contre la perte de tonicité musculaire et ainsi redonner une base solide au corps. Une attention toute particulière doit être accordée à la zone centrale (abdominaux, dorsaux).

Pour cela, je recommande des exercices de renforcement tout simples au moins deux fois par semaine qui peuvent se faire à la maison sans aucun matériel (gaînage, abdominaux, demi-squat,…)

 

Etirer : c’est redonner au corps des degrés de liberté, assouplir les articulations et assurer un bien-être au quotidien.

Pour cela, je recommande d’étirer, d’assouplir en douceur tout le corps au moins deux fois par semaine. Une attention tout particulière doit être accordée à la zone dorsale.

 

 

Pour la mise en œuvre pratique, RDV sur archikor.jimdo.com ou sur ma chaîne Youtube « ArchiKor ».

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dim.

13

mars

2016

Pourquoi je milite pour le sport en entreprise

Nous sommes amenés à passer de plus en plus de temps sur notre lieu de travail. Ainsi, souvent, notre santé et notre capital corporel passent au second plan. « Plus le temps, plus l’envie de faire du sport ».

D’un autre côté, des phénomènes comme le stress, la sédentarité, l’obésité, les TMS, le mal de dos, les accidents cardiaques, le burn-out,… prennent de l’importance au sein de notre société.

 

Une des réponses à ces maux réside dans le fait de favoriser le développement de l’activité physique sur le lieu de travail.

Au-delà de la contribution au bien-être et à la santé pour les salariés (obligation légale pour le dirigeant), l’activité physique (le sport) va permettre à l’entreprise d’atteindre des objectifs stratégiques fondamentaux :

Renforcer la confiance en soi pour les salariés, réduire le stress, constituer un défouloir, créer du lien social, supprimer temporairement les relations hiérarchiques, apaiser les tensions et le climat social, rééquilibrer le rapport vie professionnelle/vie privée.

 

 

Par conséquent, le sport constitue pour l’entreprise un levier pertinent pour optimiser le management et la qualité de vie au travail.

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sam.

16

janv.

2016

Bien-être et QVT : les clés de la réussite

Réussir un projet « bien-être et qualité de vie au travail », c’est faire en sorte que les salariés se sentent mieux dans l’entreprise. Des salariés heureux au travail permettent sans aucun doute à l’entreprise d’être plus performante.

Pour réussir un tel pari, l’entreprise doit mettre en place une approche globale qui regroupe plusieurs champs :

Une prise en compte de l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle des salariés.

  • Une certaine flexibilité des horaires de travail.
  • Une mise en œuvre encadrée du télétravail.
  • Un positionnement clair de la Direction sur ces thématiques (impulsion, soutien) avec une communication judicieuse vers les salariés.
  • Une prise en compte et une gestion du stress au sein de l’entreprise.
  • Une amélioration des conditions de travail sur poste (ergonomie, réduction de la pénibilité).
  • Une amélioration du bien-être des salariés par la mise en place d’actions concrètes (alimentation, activité physique suffisante, possibilité de s’offrir des moments de détente, aménagement d’espaces dédiés au bien-être). 

Ces mesures à la fois structurelles et organisationnelles vont permettre à l’entreprise de placer son projet bien-être et QVT sur le long terme. Le salarié est repositionné au centre de la réflexion et de l’action. Ce n’est qu’à ce titre que l’entreprise pourra réellement agir sur le bien-être et la santé de ses salariés.

Toutes les actions mises en place nécessitent évidemment un suivi quotidien. Il s’agit d’être à l’écoute des salariés, de proposer des solutions adaptées, d’en évaluer la pertinence et de ne pas hésiter à les faire évoluer.

 

Un salarié heureux au travail, c’est une entreprise qui gagne.

 

Dirigeants, la balle est dans votre camp…

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sam.

16

janv.

2016

5 résolutions post-fêtes pour votre santé

Une nouvelle année commence, c’est l’occasion de penser un peu à sa santé et de s’occuper de son capital corporel.

Je vous propose 5 résolutions (à tenir pendant un mois) qui vous permettront de mieux vous sentir dans votre peau. Si vous êtes suffisamment rigoureux, je pense même que vous allez perdre deux kilos sans vous en apercevoir !

 

1° MARCHER

Je vous encourage à marcher le plus possible. Laissez votre voiture au garage pour tous les petits déplacements, notamment en centre-ville.

Voici les engagements à tenir :

-          Marcher dès que possible

-          Marcher au moins une fois par semaine sur votre pause de midi (45 minutes à un bon rythme avec une paire de chaussures de sport)

-          Marcher au moins une heure le week-end en plein-air (un rythme de 5-6 km/h est accessible pour la plupart des personnes)

Vous pouvez ainsi marcher un cumul de trois heures par semaine.

 

2° REDUIRE L’ALCOOL

Supprimer complétement l’alcool me semble trop radical. Par contre, il faut en limiter la consommation. Je propose de fixer la limite à trois doses d’alcool par semaine au maximum.

 

3° REDUIRE LE SUCRE

Supprimez les sucres rapides le matin (pain au chocolat, nutella, confiture, ….).

Le soir, après le dîner, pas de dessert sucré. Au diable les petits gâteaux et le chocolat. Je propose un fruit ou un yaourt 0%. Mais il est aussi possible de se passer tout simplement de dessert.

 

4° NE MANGEZ PAS ENTRE LES REPAS

Trois repas équilibrés suffisent à votre organisme ; bannissez le grignotage.

 

5° BOIRE DE L’EAU

Buvez au moins un litre d’eau par jour. Votre bouteille doit être vide à la fin de la journée.

 

 

Voilà ; les 5 propositions sont largement accessibles. Je vous mets au défi de les tenir pendant un mois. Votre corps vous remerciera !

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ven.

01

janv.

2016

Le corps : un capital à ne pas dilapider 

Notre corps constitue une richesse. Notre capital corporel atteint son apogée entre 20 et 25 ans. Puis, avec les années, nous devenons de plus en plus pauvres ; notre capital diminue progressivement.

Face à ce constat, il me semble fondamental de s’occuper de son corps afin de le préserver le plus possible.

Certes, vous allez me dire qu’il est impossible de lutter contre le temps et d’empêcher les effets du vieillissement. Et vous avez raison ; avec les années, la silhouette se modifie, les muscles perdent de leur puissance, les articulations deviennent plus raides,…

Cependant, je prétends qu’il est possible, en sollicitant son corps de façon adaptée, de limiter considérablement les effets du vieillissement physique et ainsi d’entretenir au mieux son capital corporel.

Pour ceci, comment et quoi faire ? Et pour quels résultats ?

Pour agir positivement sur le capital corporel, il s’agit de mettre le corps au centre de la réflexion et de l’action et non pas d’appliquer telle ou telle méthode ou de faire du sport dans tous les sens.

Les choix opérés sont guidés par les caractéristiques individuelles dans une recherche permanente de bien-être et de santé.

Pour ma part, trois principes sont incontournables :

  • Mobiliser le corps dans sa globalité de façon douce et progressive
  • Solliciter la fonction cardiaque de façon suffisante
  • Renforcer la ceinture abdominale et dorsale ainsi qu’étirer l’ensemble du dos

De façon très concrète, il faut privilégier la marche, le vélo, la natation, le footing, le cardio sur machines, le renforcement des abdominaux et des lombaires, les étirements et le déverrouillage articulaire.

Trois séances d’au moins une heure par semaine et ce sur le long terme (plusieurs années) permettent à coup sûr d’agir efficacement sur la préservation du capital corporel.

En respectant ces principes, nous sommes en droit d’attendre des résultats sur notre corps. Ceux-ci se traduiront par une diminution des risques d’accident cardiaque, par un affinement et une tonification de la silhouette, par une réduction des pathologies dorsales, par une contribution à la sensation de bien-être, par une meilleure gestion du stress et des soucis liés à la vie professionnelle.

 

Je vous encourage donc à vous occuper de votre capital corporel comme vous le faites pour votre capital intellectuel ou pour votre capital financier. Votre corps constitue une valeur sûre sur laquelle vous pouvez investir sans compter.

 

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ven.

01

janv.

2016

Pour une démocratisation de la musculation douce

A la différence de la musculation de type « athlétique » qui vise à acquérir davantage de force, la musculation douce a des visées essentiellement sanitaires.

 

La musculation douce doit permettre de mieux se sentir dans son corps et se situe clairement dans une perspective d’entretien du capital corporel.

Ainsi, je défends l’idée d’une musculation pour tout le monde et à tout âge. Une musculation douce, avec des charges légères, voir sans charges, permet de renforcer tout le corps, sans créer de traumatismes. Une telle pratique contribue à préserver le corps face aux effets du vieillissement et aux dégradations engendrées par la vie quotidienne.

A condition de bénéficier d’un espace suffisant (10 m2 au minimum) et d’avoir un peu de matériel spécifique, il est possible de renforcer toutes les parties du corps. Le point fondamental reste toutefois le renforcement de toute la zone centrale (ventre et dos). A ce titre, la musculation douce (comme les étirements) contribue à limiter considérablement les pathologies dorsales.

Ce type de musculation, basée sur la répétition de mouvements avec des charges adaptées, permet de faire travailler son corps « sans douleur ». On est loin de la séance de « torture » ; bien au contraire, la notion de plaisir doit être centrale. Plaisir de solliciter son corps, de le découvrir, de comprendre comment il fonctionne et d‘avoir le sentiment d’agir pour son bien-être et sa santé.

 

 

Je milite donc pour une démocratisation de la musculation douce. Celle-ci est accessible à tout le monde ; elle se place au service de l’entretien du capital corporel et se pose ainsi comme un formidable outil pour accéder au bien-être et à l’entretien de la santé.

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dim.

25

janv.

2015

Eloge de la marche

Marcher constitue assurément le moyen le plus simple pour faire de l’activité physique.

Pour marcher, pas besoin de coach, ni de club, ni d’installations sportives ; une bonne paire de chaussures, et c’est parti !

La marche représente le moyen le plus basique pour l’homme pour se déplacer.

Au quotidien, nous pouvons marcher pour nous rendre au travail, pour aller à la boulangerie, pour s’offrir un moment de détente entre midi et deux la semaine.

Le week-end, nous pouvons faire une sortie marche plus longue pour découvrir notre environnement proche ou pour parcourir les montagnes situées à proximité (les Vosges sont par exemple le lieu idéal pour les sorties marche). De plus, marcher peut se faire en famille et permet ainsi un moment d’échange privilégié avec ses proches.

 

Pour ma part, je préconise de marcher au moins deux fois par semaine. Une bonne demi-heure est la durée minimale. Il faut toutefois essayer de marcher à un bon rythme (entre 5 et 6 km/h).

L’idéal serait de marcher une fois dans la semaine une heure et de faire une bonne marche le week-end (deux à trois heures). Dans ces conditions, la marche représente alors une activité physique tout à fait suffisante.

 

Marcher n’entraîne aucun traumatisme, stimule de façon raisonnable la fonction cardiaque et constitue un moyen redoutable pour lutter contre la sédentarité. Enfin  la marche se pose comme un formidable outil face au stress.

Pour conclure, la marche ; c’est bon pour la santé, c’est bon pour le porte-monnaie (on ne dépense pas d’argent) et c’est bon pour l’environnement (aucune source de pollution).

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sam.

24

janv.

2015

Lutter contre le mal de dos

Les pathologies dorsales sont de plus en plus fréquentes au sein de notre société. Elles augmentent en général avec l’âge.

 

Avoir mal au dos n’est pas une fatalité ; je propose plusieurs principes pour lutter contre le mal de dos. Ces principes s’accompagnent de moyens à mettre en œuvre :

  • Réduire le poids : alimentation équilibrée, faire du cardio (cf article précédent).
  • Renforcer les muscles lombaires : travail statique et dynamique (faible amplitude) sur appareil spécifique.
  • Renforcer les abdominaux : travail statique et dynamique (faible amplitude) avec utilisation d’un fitball (gros ballon).
  • Renforcer toute la ceinture pelvienne : travail sous forme de gainage.
  • Renforcer les muscles dorsaux : travail avec des élastiques (c’est facile et pas traumatisant).
  • Etirer tout le dos : étirements progressifs dans le sens de la longueur et aussi en rotation.
  • Modifier au quotidien la posture : se tenir droit, rentrer le ventre, tirer les épaules vers l’arrière, placer la tête au-dessus de l’axe longitudinale du corps, augmenter la distance qui sépare la tête du bas du dos.

 

Contribuer à réduire les pathologies dorsales constitue un élément fondamental de ma méthode de travail. Toutes les séances que je propose contiennent des exercices destinés à préserver le dos.

 

En appliquant ces principes, l’individu se place résolument dans une perspective de recherche de bien-être et de santé. Ne plus avoir mal au dos représente un réel soulagement au quotidien et améliore ainsi la qualité de vie. 

 

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sam.

16

août

2014

Sport et santé

 

C’est bien connu, le sport est bon pour la santé.

 

Oui, mais quel sport ? Et la santé, c’est quoi ?

 

 

De mon point de vue, être en bonne santé, c’est un état global d’épanouissement avec un cœur qui fonctionne correctement, une motricité et une locomotion en « état de marche », un dos qui ne fait pas souffrir, mais aussi un mental positif qui permet d’aborder la vie du bon côté.

 

Etre en bonne santé, c’est  donc se sentir bien dans son corps et dans sa tête.

 

Alors, à l’étude de cette définition, est-ce-que le sport est bon pour cette santé là. A l’évidence, pas toujours. En effet, dans notre société, faire du sport rime souvent avec excès, spécialisation à outrance, dopage, blessures,… Toutes ces dérives du sport sont nombreuses. Pour les éviter et pour rechercher des effets positifs sur la santé, il est nécessaire de « traiter » le sport et de l’envisager comme un élément constitutif de notre hygiène de vie.

 

Voici un certain nombre de principes à respecter afin de pouvoir profiter des bénéfices de la pratique sportive :

 

  • Faire du sport régulièrement (trois fois par semaine)

  • Faire du sport avec une durée minimum par séance (au moins 30 minutes, idéalement  une heure)

  • Faire du sport à une intensité adaptée ; il s’agit bien de solliciter de façon optimum le corps (l’indicateur de la fréquence cardiaque est à ce titre pertinent ; entre 110 et 160 puls/minute selon l’âge)

  • Démarrer chaque séance par un échauffement progressif de15 minutes

  • Faire des sports qui sollicitent la fonction cardiaque de façon raisonnable et continue : vélo, natation, marche rapide, footing , roller, musculation légère …

  • Faire des sports qui sollicitent l’ensemble du corps

 

Ces principes, qui découlent autant du bon sens que d’études scientifiques, permettent d’envisager le sport comme un formidable outil pour créer les conditions de la santé.

 

 

 

 

 

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dim.

29

déc.

2013

Pourquoi entretenir son capital corporel

Notre  corps constitue une richesse, un capital qu’il s’agit de préserver et d’entretenir.

Au fil du temps, notre capital corporel se dégrade (sédentarité, prise de poids, problèmes de dos, excès du quotidien, stress, maladies cardio-vasculaire).

 

Entretenir son capital corporel, c’est-à-dire faire travailler son corps dans sa globalité, va permettre de lutter face à ces phénomènes.

Les principes de ma méthode pour entretenir le capital corporel sont les suivants :

  • un travail global du corps,
  • une sollicitation permanente de la fonction cardiaque,
  • des exercices à la fois doux (sans traumatisme pour le corps) et intenses afin de viser l’efficacité,
  • un renforcement de la partie dorsale pour rechercher une ouverture de la colonne vertébrale,
  • une tonification de la zone abdominale en privilégiant un travail statique.

 

L’entretien corporel se situe donc sur un autre pôle que l’activité sportive. Les finalités de l’entretien corporel sont avant tout sanitaires et hygiéniques ; il s’agit bien d’aider son corps à se préserver des effets du temps et de gommer les conséquences des excès du quotidien.

 

De plus, il n’est jamais trop tard pour s’occuper de son capital corporel. On peut commencer à tout âge et aucune aptitude physique n’est requise  (un avis médical avant de commencer est toutefois recommandé).

 

Entretenir son capital corporel permet d’accéder à un bien-être, à une harmonie corporelle et contribue ainsi à mieux vieillir.

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sam.

28

déc.

2013

Entretenir et préserver son corps

 

Ma méthode a principalement des finalités sanitaires et hygiéniques ; il s’agit bien d’entretenir et de préserver son capital corporel.

Tous mes programmes, toutes mes séances, tous mes exercices ont ainsi pour objectif d’entretenir les différentes parties du corps sans créer de traumatisme.

 

Voici le schéma de travail que je propose :

  • 50% de travail cardiaque sur des appareils de cardio en variant les types de mouvements afin de solliciter toutes les parties du corps (pour le bas du corps ; vélo semi-allongé, stepper, elliptique /pour le haut du corps ; vélo pour les bras).
  • 30% de renforcement musculaire. Il s’agit de renforcer en douceur (sans charges ou avec charges légères) les différentes parties du corps. Une attention particulière est apportée au travail des abdominaux et des lombaires (ceinture pelvienne).

 

  • 20% d’étirements, d’assouplissements. Les étirements s’effectuent en fin de séance et sont principalement axés sur la partie dorsale afin d’en diminuer la raideur.

 

Les programmes que je propose respectent toujours ce schéma. Ils ont pour objectifs de créer les conditions de la santé, de lutter contre les maladies cardio-vasculaires et la sédentarité, de réduire les pathologies du dos, de gommer les excès du quotidien et de contribuer à l’affinement de la silhouette.

 

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ven.

27

déc.

2013

Activité corporelle et plaisir

STOP aux idées reçues...

souvent, faire du sport, de la musculation, du « fitness », rime avec contrainte et souffrance.

 

Au contraire, faire travailler son corps doit être une source de plaisir et constituer un moment privilégié.

 

LE PLAISIR constitue le fil conducteur de ma méthode d’entretien corporel :

  • plaisir de faire bouger son corps,
  • plaisir de se dépenser, de transpirer,
  • plaisir de pratiquer en douceur (aucun traumatisme),
  • plaisir de ressentir son corps qui travaille, qui se renforce,
  • plaisir de découvrir ou de redécouvrir des zones corporelles oubliées,
  • plaisir de pratiquer dans un environnement agréable et calme,
  • plaisir de pratiquer avec quelqu’un d’autre (échanges),
  • plaisir de pouvoir pratiquer tout en écoutant de la musique ou en regardant la télévision,
  • plaisir d’accéder à une meilleure connaissance de son corps,
  • plaisir de s’offrir un moment pour soi,
  • plaisir de contribuer à créer les conditions de la santé,
  • plaisir d’après séance : bonne fatigue, apaisement des tensions, libération d’endorphines (hormones du plaisir).

 

 

Le plaisir est une notion centrale car il place l’individu dans une perspective à long terme, ce qui est fondamental dans la recherche du bien-être et de la santé.

Eprouver du plaisir pendant l’activité contribue à entretenir la motivation et donne l’envie de continuer à pratiquer.

 

Notre corps est source de plein de plaisir (alimentation, sexualité...) ; l’activité corporelle doit assurément se placer sur le même plan et représenter de vrais moments de plaisir.

 

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jeu.

26

déc.

2013

Le cardio : se dépenser sans compter

Faire du cardio, c’est quoi ? C’est solliciter la fonction cardiaque de façon optimale en utilisant des appareils fixes et en répétant un mouvement cyclique.

 

Les intérêts de cette activité sont multiples :

  • Solliciter de façon  permanente et contrôlée  la fonction cardiaque.
  • Effectuer un travail intense et ce quel que soit son niveau (du débutant à l’expert).
  • Pouvoir faire des séances longues et régulières sans créer aucun traumatisme corporel (les articulations, les tendons, les muscles sont préservés).
  • Cibler de façon précise la partie du corps que l’on souhaite travailler grâce à la variété des appareils existants.
  • Entretenir la motivation grâce aux nombreuses indications données par les écrans des appareils (distance parcourue, nombre de répétitions par minute, fréquence cardiaque).
  • Pouvoir se dépenser sans tenir compte des conditions climatiques (froid, pluie, chaleur).
  • Passer un moment agréable car la pratique du cardio permet de discuter, de lire, de regarder la télé, d’écouter de la musique ou tout simplement de se vider l’esprit
  • Pouvoir s’hydrater aisément tout au long de la séance.

 

Faire du cardio permet de s’occuper de son corps avec plaisir et surtout contribue à créer les conditions de la santé (lutter contre les maladies cardio-vasculaires et la sédentarité, contribuer à la perte de poids).

Cette activité corporelle est accessible pour tout le monde et ne nécessite aucune formation.

 

Du fait qu’elle ne soit pas traumatisante pour le corps, elle permet de faire des séances longues (de une à deux heures) et régulières.

Faire du cardio, c’est donc pouvoir se dépenser sans compter et entretenir ainsi son capital corporel.

 

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mer.

25

déc.

2013

Les abdominaux

Renforcer la partie centrale de notre corps (les abdominaux) apparaît comme une nécessité.

 

Il faut toutefois envisager une approche globale et associer un renforcement dorsal au renforcement abdominal (muscler devant et derrière !).

Il est aussi important de veiller à appliquer des règles de sécurité afin d’éviter toute forme de traumatisme.

 

De plus, contrairement aux idées reçues, le travail des abdominaux n’est pas difficile.

Je propose de respecter un certain nombre de principes :

 

  • limiter l'amplitude des contractions (des petits mouvements),
  • privilégier le travail statique (pas de mouvement),
  • privilégier le gainage (musculation statique qui consiste à maintenir l'alignement de la colonne vertébrale),
  • associer un travail respiratoire aux exercices,
  • solliciter les différents groupes musculaires (grands droits, obliques, transverse),
  • renforcer de manière équivalente les lombaires,
  • ne jamais tirer sur la nuque et conserver un placement correct du bas du dos afin de préserver sonintégrité physique,
  • faire des exercices faciles et augmenter la quantité de travail pour rechercher l’efficacité,

 

Grâce une approche à la fois sécuritaire, ludique et sérieuse, le travail des abdominaux est accessible pour tout le monde.

Il est possible de renforcer ses abdominaux à tout âge (de l’enfant au sénior).

 

Le ventre et le bas du dos constituent le centre de notre corps et la base de notre motricité.

Renforcer toute la ceinture pelvienne est fondamental pour entretenir son corps et pour le préserver des pathologies dorsales.

 

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mar.

24

déc.

2013

Les étirements

Il faut aborder avec prudence les étirements.

 

De nombreuses études scientifiques remettent en question les effets bénéfiques des étirements et leur efficacité.Une chose est toutefois sûre ; il ne faut jamais étirer un muscle froid. Les étirements s’effectuent toujours en fin de séance.

 

Ma méthode d’entretien du capital corporel n’engendre aucun traumatisme musculaire. Par conséquent, les étirements sont plutôt à envisager dans une perspective d’amélioration de la souplesse du corps. De plus, je préconise essentiellement des étirements de la zone dorsale.

Après une séance de cardio, je propose ainsi de consacrer une dizaine de minutes aux étirements.

Les groupes musculaires suivants sont les plus faciles à étirer :

  • mollet
  • quadriceps
  • ischio-jambiers

 

Les étirements du dos sont à privilégier. Il s’agit d’allonger, d’étendre progressivement les muscles de la zone dorsale dans le sens de la longueur. Assez rapidement des progrès (quantifiables en gain de souplesse) vont apparaître.

Il est aussi nécessaire d’étirer le dos de façon rotative (par exemple avec l’aide d’un bâton posé sur les épaules).

 

Associé à un travail de renforcement des muscles du dos, les étirements de cette zone du corps vont contribuer à réduire considérablement les douleurs dorsales.

 

Il n’est jamais trop tard pour commencer à étirer son dos. Les exercices que je propose sont faciles et accessibles pour tout le monde. Ils permettent un bénéfice en termes de bien-être et apportent un réel soulagement pour votre dos.

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jeu.

28

juin

2012

Améliorer le bien-être des salariés dans l'entreprise

 

Début mai 2014, j’ai été sollicité par le groupe Zénith Union Entreprises pour améliorer le bien-être des salariés par l’intermédiaire de l’activité physique.

 

Pour cela, le dirigeant a souhaité que je réalise un audit auprès de ses salariés (plus de 40 collaborateurs ont été consultés par le biais d’un questionnaire et d’entretiens individuels) afin :

 

  • d’évaluer leur position face à l’activité physique

  • d’évaluer le stress et le bien-être au travail

  • de faire réfléchir chaque salarié sur sa situation individuelle face à la notion de santé

  • de cibler au mieux les actions à entreprendre.

Nous sommes actuellement en train de déterminer quelles sont les actions les plus pertinentes à mettre en place. Nous envisageons d’apporter aux salariés des services dans le domaine de l’alimentation (fourniture de repas équilibrés et/ou diététiques) et dans le domaine de l’activité physique (mise à disposition d’un coach pour tous les salariés avec suivi individuel et accompagnement sportif).

 

Les résultats de cette enquête et les premières pistes de réflexions sont disponibles via le lien ci-après Rapport ZENITH.

 

D’autres types d’actions vont encore se mettre en place dans les mois à venir.

 

Au travers de ce projet novateur, j’expérimente l’effet de l’introduction de services liés au bien-être des salariés dans l’entreprise. Il apparaît d’ores et déjà que les axes d’interventions doivent être diversifiés et adaptés au besoin de chaque salarié afin d’obtenir l’adhésion de l’ensemble du groupe à cette démarche.

 

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